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Permanence juridique gratuite tous les vendredis de 10h à 12h30 sur rdv uniquement en écrivant à juridique@saif.fr.

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Demande d’autorisation

Toute personne ou société désirant obtenir une autorisation d’exploitation sur une ou plusieurs oeuvres de l’un de nos sociétaires est invitée à nous faire parvenir un email, à l’adresse autorisation[@]saif.fr, en précisant les informations suivantes :

  •  Nom et prénom de la personne réalisant la demande d’autorisation 
  •  Nom de la société pour laquelle la demande est effectuée 
  •  Adresse de la société ou de la personne (bâtiment, rue, code postal, ville, pays) 
  •  Numéro de téléphone fixe et/ou portable actif 
  •  Adresse email 
  •  Nom et prénom de l’auteur sur lequel porte la demande d’autorisation 
  •  Référence et/ou descriptif de la ou des oeuvres objet de l’autorisation 
  •  Description de l’exploitation envisagée pour ces oeuvres (format, nature du support, tirage, durée, pays).

La Saif se réserve la possibilité de contacter la personne à l’origine de la demande afin d’obtenir de plus amples informations.

Les apports de droits des auteurs à la Saif sont variables (cf. articles 4 et 5 des statuts de la Saif).

Pour tout renseignement, n’hésitez pas à prendre contact avec nos services.

Pour consulter les tarifs de la Saif, cliquez ici.

Intelligence artificielle : La SAIF exerce son droit d’opposition (opt-out)

L’intelligence artificielle générative peut être un outil de création intéressant pour les auteurs et autrices, qui se doit de respecter le droit des auteurs.

Or, les outils d’intelligence artificielle générative sont entrainés à partir d’un nombre considérable de données parmi lesquelles figurent de très nombreuses œuvres des arts visuels. Cette utilisation est opérée sans l’autorisation préalable de la SAIF et/ou de ses auteurs et autrices.  

L’article L.122-5-3 III du Code de la propriété intellectuelle, transposant l’exception de fouille de textes et de données prévues à l’article 4 de la directive 2019/790 du
17 avril 2019, permet aux auteurs ou leurs ayants droit de s’opposer (opt-out) à l’exploitation de leurs œuvres par les services d’intelligence artificielle. 

Dans l’intérêt des auteurs et autrices qu’elle représente, la SAIF a décidé d’exercer son droit d’opposition générale à toute exploitation de l’ensemble des œuvres de son répertoire par les services d’intelligence artificielle.

Les opérateurs d’intelligence artificielle quels qu’ils soient devront désormais obtenir l’autorisation préalable de la SAIF et négocier les conditions d’exploitation des œuvres de son répertoire. 

Considérant qu’un tel droit d’opposition n’est pas suffisant pour faire respecter le droit de ses auteurs et autrices, tant d’un point de vue juridique que des difficultés techniques de son véritable exercice au regard du nombre d’images déjà en circulation, la SAIF continuera d’œuvrer en faveur d’une modification législative qui permettrait la mise en place d’un véritable système de rémunération équitable des auteurs et des autrices.

Télécharger ce communiqué.

Lire le précédent communiqué  : "Intelligence artificielle générative et droit d’auteur : la SAIF demande une intervention législative".

Lettre ouverte au Président de la République

Le Sénat a adopté le 16 février dernier à l’unanimité des familles politiques et, contre l’avis du gouvernement, un amendement devenu article 10 quater visant à la mise en place d’une rémunération équitable pour les auteurs des arts visuels.

Les moteurs de référencement et d’indexation des images exploitent sans autorisation les images des auteurs dessinateurs, designers, graphistes, plasticiens, photographes, etc., et en retirent des bénéfices considérables sans aucune contrepartie pour les auteurs. 
Le projet de loi sera examiné en deuxième lecture à l’Assemblée nationale à partir du 21 mars prochain.

Dans une lettre adressée au Président de la République, des grands noms de la photographie et du dessin interpellent le gouvernement afin que ce dispositif soit intégré dans le projet de loi « Création, architecture et patrimoine » à l’occasion de la deuxième lecture du projet à l’Assemblée nationale.

Tout savoir sur l’exception de panorama

Mettons fin aux fantasmes agités par ceux qui veulent porter atteinte aux droits des auteurs !

Dans le cadre de la Consultation publique sur l’avant-projet de loi Pour une République Numérique, une campagne de désinformation a été lancée par les partisans de l’exception de panorama.

La SAIF, soucieuse d’un juste équilibre entre les droits des artistes et ceux du public, tient à remettre les choses au clair et à dépassionner le débat en apportant des réponses simples aux questions fréquemment soulevées.

  • Puis-je partager les photos/vidéos sur un blog personnel ou les réseaux sociaux (Facebook, Instagram, Twitter etc.) ?

OUI. Aujourd’hui, et même sans exception de panorama, les particuliers postent déjà des photos et vidéos d’œuvres (situées ou non dans l’espace public) sur les réseaux sociaux et les partagent avec leurs amis. Ces diffusions non commerciales sont largement acceptées par les artistes et ne donnent jamais lieu à des procédures judiciaires. Il n’y a donc aucune raison de remettre en cause les droits des auteurs.

Car il est en revanche tout à fait légitime qu’ils soient rémunérés quand leurs œuvres sont utilisées dans un but commercial.

  • Les journalistes, photographes ou réalisateurs peuvent-ils créer des photos/ vidéos intégrant des œuvres de l’espace public ?

OUI. Il existe déjà des exceptions (reproduction accessoire, exception d’information immédiate...) ou des systèmes d’autorisation générale (auprès des éditeurs et télédiffuseurs) qui facilitent l’usage des photos/vidéos. En tant qu’auteurs eux-mêmes, les journalistes, photographes et réalisateurs sont conscients et solidaires des droits des autres auteurs.

  • Est-il nécessaire d’harmoniser en Europe l’exception de panorama ?

NON. Il n’existe aucun élément concret attestant de problèmes transfrontaliers ou d’obstacles au marché commun. Chaque pays a ses propres traditions et sa propre appréhension de ces problématiques. Des solutions existent déjà dans tous les pays pour faciliter l’exploitation des œuvres, soit à travers une exception soit par des mécanismes d’autorisation. L’Allemagne par exemple, qui connait cette exception depuis 1876 (!), a par ailleurs, dans son économie de la culture, des mécanismes de rémunération des auteurs bien plus importants qu’en France.

  • Alors, qui souhaiterait que cette exception s’applique y compris aux exploitations commerciales des œuvres situées dans l’espace public ?

Pour autant que nous sachions, et même si c’est une structure non lucrative, Wikimedia (qui est en charge de l’encyclopédie Wikipedia) demande une exception à l’échelle européenne qui inclurait l’usage commercial. Wikimedia sait parfaitement que l’utilisation des œuvres dans les pages Wikipedia n’est pas remise en cause par les auteurs, même dans les pays où l’exception de panorama n’existe pas.

Au surplus, Wikimedia a toujours refusé les propositions de licence d’utilisation qui lui ont été faites (pour l’ensemble des œuvres des arts visuels et pas seulement pour celles situées dans l’espace public) au motif que celles-ci ne permettraient pas de diffuser des fichiers HD, d’exploiter commercialement les œuvres (et d’autoriser n’importe qui à le faire !), de les modifier ou d’en transformer le contexte, soit, ce qui est son objectif déclaré, mettre à disposition de tous une banque d’images, y compris pour des usages professionnels, en concurrence directe et déloyale avec les auteurs de l’image.

Si la volonté de Wikimedia est de priver les auteurs de leurs droits afin de permettre à des sociétés commerciales de faire des profits avec leurs œuvres, on ne peut que s’y opposer car c’est clairement injuste et économiquement injustifié.

  • Plus d’infos sur l’exception de panorama

L’exception de panorama est l’une des 20 exceptions facultatives prévues par la Directive européenne 2001/29 et s’applique à « l’utilisation d’œuvres, comme des œuvres architecturales ou des sculptures, conçues pour être placées de manière permanente dans l’espace public  ».

Dans les pays où il n’existe pas d’exception de panorama, des mécanismes pratiques et des solutions existent pour faciliter l’obtention des autorisations. Pour reprendre l’exemple si souvent mis en avant (à tort !) par les partisans de l’exception de panorama, si vous voulez photographier la Tour Eiffel de nuit pour un usage personnel et la diffuser sur un réseau social, vous n’avez aucun besoin d’autorisation ni de payer quoi que ce soit.

Si vous voulez imprimer ces photos et les vendre sous forme de cartes postales ou les utiliser dans une publicité, vous devez contacter la SETE (la société qui gère l’image de la Tour Eiffel pour la Mairie de Paris) pour vous renseigner sur l’autorisation dont vous pourriez avoir besoin.

La rémunération pour une utilisation commerciale ou publicitaire de photos d’œuvres protégées est substantielle pour l’artiste. Il n’y a pas de raison de supprimer cette source de revenus. En France, l’introduction de cette exception provoquerait une perte de revenus majeure pour les sculpteurs, auteurs de street art, architectes, et les autres auteurs des arts visuels.

Pour plus d’informations, écrivez à saif@saif.fr.

RAPPORT REDA : Adoption d’un texte équilibré, sans référence à « l’exception de panorama »

Le 9 juillet 2015, le parlement européen a adopté le rapport Reda, largement amendé par rapport à sa version initiale présentée en janvier dernier par la députée allemande du parti pirate. Ce texte, qui n’a pas force contraignante, s’inscrit dans une logique de préservation des équilibres entre le respect des droits des créateurs et l’adaptation aux innovations technologiques.

La SAIF salue le travail constructif des parlementaires européens qui a permis d’aboutir à cette solution de compromis et d’apaisement dans un contexte général de désinformation.

Toute référence à l’exception de panorama a ainsi été retirée du rapport. Chaque pays membre de l’Union Européenne reste libre d’inclure cette exception dans sa législation selon ses particularismes culturels, ce qui n’est pas le cas en France où les usages commerciaux des œuvres situées dans l’espace public restent soumis à l’autorisation préalable de leurs auteurs.

Ne confondons pas « libre » accès à la culture et « libre » utilisation commerciale d’une œuvre. Au-delà de ces amalgames, la SAIF rappelle que la question de la rémunération de l’auteur et du partage de la valeur entre les créateurs et les prestataires de l’Internet est le véritable enjeu actuel sur lequel l’Union Européenne doit se concentrer. Un premier pas dans ce sens a été effectué et il faut s’en féliciter.

But de la France face aux moteurs de recherche d’Images !

Après des années de bataille de la SAIF, la loi « Liberté de Création, Architecture et Patrimoine » va créer l’obligation pour les moteurs de recherche, notamment Google, de partager avec les auteurs la valeur des images publiées jusqu’alors, sans autorisation et sans rémunération.

La Commission mixte paritaire chargée de proposer un texte définitif de la loi a adopté le 15 juin 2016, l’article 10 quater qui introduit l’obligation pour les moteurs de recherche d’images de rémunérer les auteurs des arts visuels. Ce texte doit désormais être définitivement adopté par les deux chambres du Parlement avant la fin du mois de juin.

Il faut remercier les parlementaires pour leur détermination et leur courage, qui ont permis l’adoption de ce dispositif malgré l’avis défavorable du gouvernement.

Merci aux organisations professionnelles des arts visuels qui ont soutenu et participé à ce combat tout au long de ses dernières années : CAAP, SNAP-CGT, SNSP, UNPI, UPP, USOPAV.

Merci également à tous les auteurs de la SAIF qui se sont mobilisés depuis de nombreuses années, leur soutien a été essentiel pour parvenir à ce résultat historique !

Qu’ils soient photographes, dessinateurs, sculpteurs, auteurs de BD, peintres, designers, graphistes, architectes, ce sont plusieurs dizaines de milliers de créateurs des arts visuels qui vont pouvoir vivre mieux de leur art.

Ce dispositif inédit au niveau mondial préserve la création plastique, graphique et photographique, sans remettre en cause l’usage des internautes d’accéder gratuitement aux images indexées, reproduites et publiées par les moteurs de recherche.

Reconfinement – la Saif vous accompagne

Notre pays entame son reconfinement progressif depuis le 30 octobre. La Saif reste plus que jamais mobilisée à vos côtés pour vous accompagner dans cette nouvelle étape.

Suite aux annonces du gouvernement du 28 et 29 octobre 2020, il apparaît que les auteurs peuvent poursuivre leur activité, 100% à domicile si cela est possible, sinon sur leur lieu de travail et à l’extérieur, si cela ne nécessite pas la rencontre avec un public et à condition de pouvoir en justifier.

Pour pouvoir se déplacer, les auteurs indépendants, en tant que travailleurs non-salariés, doivent se munir d’une attestation de déplacement dérogatoire en cochant la première case  (« déplacements entre le domicile et le lieu d’exercice de l’activité professionnelle […] ») et se munir d’un document permettant d’en justifier (carte professionnelle, copie de votre inscription SIRET, contrat ou commande de tel ou tel diffuseur, convention d’adhésion à la Saif images, etc.).

La Saif n’est pas l’employeur de ses sociétaires et n’est donc pas habilitée à remettre des attestations de quelque type que ce soit pendant la période de confinement actuelle. Si vous êtes auteur indépendant, vous devez établir et signer vous-même vos attestations de déplacement.

Les auteurs salariés, s’ils ne peuvent pas télétravailler, doivent demander un justificatif de déplacement professionnel à leur employeur.

Ici le site Internet du gouvernement, pour télécharger ces attestations.

Le fonds de solidarité mis en place par le Gouvernement en mars dernier reste accessible aux artistes-auteurs jusqu’à la fin de l’année, il est renforcé et prévoit jusqu'à 10 000 euros pour les entreprises de moins de 50 salariés fermées administrativement, ou pour celles qui accusent une baisse de leur chiffre d'affaires de plus de 50% si elles sont issues des secteurs affectés (culture, événementiel, hôtellerie, …)

Les autres peuvent bénéficier de l’aide initiale de 1 500 euros.

Deux formulaires de demande sont disponibles :

- Pour ceux qui déclarent leurs revenus en traitements et salaires : ce formulaire.

- Pour ceux qui déclarent leurs revenus en BNC (bénéfices non commerciaux) via leur espace personnel sur impots.gouv.fr (> messagerie privée > menu Ecrire > je sollicite le fonds Covid-19).

Les exonérations de cotisations sociales sont étendues. Les entreprises de moins de 50 salariés fermées seront exonérées du paiement de ces échéances sociales.

Les autres pourront bénéficier d’un report. Pour les travailleurs indépendants qui ont l’interdiction d’ouvrir, les prélèvements sociaux seront également annulés.

L’aide financière pandémie (AFP) mise en place par l’IRCEC intervient pour les artistes-auteurs en difficulté, en complément des autres fonds de soutien. Ce complément vise à aider les adhérents à régler leurs cotisations aux régimes de retraite de l’IRCEC (et la validation des droits à retraite) ou à subvenir aux besoins de la vie quotidienne, notamment pour ceux qui auraient déjà réglé les cotisations de l’année. Ici pour tout renseignement :

http://www.ircec.fr/actualite/aide-financiere-pandemie/

Les adhérents aux régimes de retraite complémentaire (RAAP, RACD, RACL) peuvent bénéficier d’une aide sociale. Une assistante sociale étudie les dossiers qui sont ensuite soumis à l’approbation des commissions au sein de chaque régime, composées d’artistes et d’auteurs.

Ici pour tout renseignement :

http://www.ircec.fr/actualite/aide-sociale-aux-artistes-auteurs/

Dans ce contexte, nos bureaux sont fermés à l’accueil physique et téléphonique. Nos équipes restent joignables par mail.

Pour toute demande relative à l’adhésion et aux déclarations vous pouvez adresser un mail à : administration[@]saif.fr

Pour les questions comptables : comptabilite[@]saif.fr

Pour toute demande d’autorisation : autorisation[@]saif.fr

Pour les questions juridiques : juridique[@]saif.fr

Pour les relations presse et la communication : communication[@]saif.fr

Pour l’action culturelle : actionculturelle[@]saif.fr

Pour la Saif images : lasaifimages[@]saif.fr

Pour toute autre question : saif[@]saif.fr

Nous nous tenons à votre disposition pour toute précision et nous espérons vous retrouver bientôt.

Au plaisir de vous retrouver bientôt ! 

Manifeste des photojournalistes Cinq ans, trois ministres, zéro mesure

La SAIF, La SCAM et les organisations professionnelles de photographes, SNJ, SNJ-CGT, CFDT journalistes et UPP ont publié à Perpignan, dans le cadre du Festival Visa pour l’image, le Manifeste CINQ ANS, TROIS MINISTRES, ZERO MESURE.

Les professionnels ont rappelé la lente et inexorable détérioration des conditions de travail et de rémunération des photographes. Malgré les nombreux rapports et réunions de travail avec le ministère depuis l’élection de François Hollande, aucune mesure concrète n’a été prise laissant le métier se déprofessionnaliser et se paupériser.

LES PHOTOJOURNALISTES DEMANDENT :

  • La mise en place d’un barème minimum de piges pour les reporters photographes non permanents. Selon la Loi Hadopi, ce barème aurait dû être mis en place depuis fin 2011 ; le gouvernement a donc laissé pourrir la situation.
  • La remise à plat du « Code de bonnes pratiques » que la grande majorité des organisations professionnelles n’a pas signé en 2014.
  • L’encadrement de l’usage des « DR » (droits réservés) dont l’utilisation abusive vise à camoufler le recours à des photographies gratuites. Les photographes proposent de taxer chaque image DR au profit d’un fonds aidant la création.
  • Le rééquilibrage des pratiques contractuelles (relations commerciales et de travail) en restaurant notamment la pratique du bon de commande, pivot garant de la protection du statut des journalistes.
  • Une réflexion sur les mesures techniques empêchant la réutilisation sans autorisation ni limite des photographies achetées par les éditeurs.
  • Repenser les conditions d’attribution des aides à la presse en réservant un pourcentage des aides à des commandes photographiques.
  • La modification des critères d’attribution du numéro d’inscription par la commission paritaire des publications et agences de presse. Ce numéro qui permet aux éditeurs, aux agences, aux services en ligne, de bénéficier de tarifs postaux et d’avantages fiscaux, ne devrait être attribué qu’aux entreprises dont les contenus éditoriaux sont majoritairement produits et validés par des journalistes.

Sophie Leron (chargée de la Mission Photographie au ministère de la Culture) et Sophie Lecointe (conseillère en charge de la presse au ministère) ont assisté à la publication du Manifeste à Perpignan.

Un an après les promesses de Fleur Pellerin formulées à Perpignan et restées lettre morte, Sophie Lecointe, s’exprimant au nom de la ministre Audrey Azoulay, a fait de nouvelles propositions notamment sur les conditions d’attributions des aides à la presse, l’instauration d’un bon de commande, et annoncé une énième étude avant la fin de l’année, cette fois sur l’usage de la mention « DR ».

Le ministère semble vouloir utiliser les derniers mois avant les prochaines élections pour rattraper le temps perdu. Les photojournalistes, sceptiques et si souvent déçus, attendent les actes.

Lire le manifeste

Contact

Avant toute reproduction ou représentation d’une œuvre les titulaires de droits d’auteur doivent donner leur accord et recevoir en contrepartie une rémunération.

Pour obtenir une autorisation pour les œuvres du répertoire de la Saif, vous pouvez nous écrire à l’adresse : autorisation[@]saif.fr

Gestion Individuelle

La Saif peut également gérer vos autres droits d’auteur comme le droit de reproduction : droit exclusif de l’auteur d’autoriser ou interdire la reproduction de l’œuvre par tous procédés qui permettent de la communiquer au public sur un support (livre, presse, affiche, etc) et le droit de présentation publique qui consiste dans la communication et la diffusion de l’œuvre au public à travers une exposition, une lecture publique, une diffusion sur Internet, etc.

La Saif est habilitée à gérer collectivement vos droits pour la conclusion d’accords généraux avec les diffuseurs (télévision et Internet,…). Elle a été agréée par le Ministère de la Culture pour gérer le droit de suite, droit spécifique aux arts visuels, qui permet aux auteurs d’œuvres graphiques, plastiques et photographiques de percevoir une rémunération sur chaque nouvelle revente d’œuvre originale par l’intermédiaire d’un professionnel du marché de l’art (vente aux enchères publiques, galeries, salons,…). Il garantit ainsi aux auteurs et aux ayants droit de bénéficier de la valorisation de leurs créations.

Le droit de présentation publique

Contrairement aux idées véhiculées par ses détracteurs, le droit de présentation publique (droit d’exposition) existe bel et bien dans la loi. Le droit de présentation publique est en effet l’un des attributs du droit de représentation.

L’article L.122-2 du Code de la propriété intellectuelle qui définit le droit de représentation énonce en effet :

« la représentation consiste dans la communication directe de l’œuvre au public notamment par voie de : récitation publique, exécution lyrique, représentation dramatique, présentation publique, diffusion par quelque procédé que ce soit des paroles, sons et images, projection publique, transmission de l’œuvre radiodiffusée par le moyen d’un haut-parleur et éventuellement d’un écran de télévision placé dans un lieu public ».

Le terme de présentation publique est donc expressément prévu par le législateur. Par ailleurs, aucun décret d’application n’est nécessaire à sa mise en œuvre. La difficulté réside aujourd’hui dans la réticence des exposants à appliquer ce droit - après l’avoir nié pendant des années - pour des raisons essentiellement financières.

Or, rien ne s’oppose à son application de façon étendue. La Cour de Cassation, par deux arrêts en date du 6 novembre 2002, a reconnu expressément le droit de présentation publique s’agissant de l’exposition de photographies qui n’avaient pas été autorisées par leurs auteurs.

En conséquence, l’exposition des œuvres des auteurs doit faire l’objet, comme toutes les autres exploitations de leurs œuvres, d’une autorisation préalable et écrite de leur part ou de la Saif et doit donner lieu à une rémunération.

La Saif perçoit déjà régulièrement des rémunérations pour les membres qui lui ont confié la gestion de ce  droit (article 5a. des statuts).

Un contrat-type a été élaboré pour aider ses membres à faire appliquer ce droit et pour organiser les modalités de l’exposition (transport, assurance, gardiennage…). Ce contrat prévoit l’obligation pour l’exposant de requérir l’autorisation préalable de la Saif et de lui payer la rémunération, contrepartie de l’autorisation ainsi délivrée.

Pour fixer cette rémunération, la Saif applique l’article L.131-4 du Code de la propriété intellectuelle qui prévoit que l’auteur doit percevoir une rémunération proportionnelle aux recettes de l’exploitation. Lorsqu’il s’agit d’une exposition consacrée à un seul auteur ou plusieurs auteurs membres de la Saif, avec des entrées payantes, un pourcentage est perçu sur le prix de vente du billet.

En l’absence de recettes ou lorsque plusieurs auteurs sont exposés et que la Saif intervient pour une minorité d’entre eux, nous demandons une somme forfaitaire à l’exposant. Le montant de cette somme est déterminé en fonction :
1 - de la nature de l’exposition (exposition commerciale organisée par une entreprise commerciale, une fondation privée ou exposition non commerciale organisée par un établissement public, une association…), 
2 - du type d’exposition (entrée gratuite ou payante), 
3 - du nombre des œuvres, 
4 - ainsi que de la durée de l’exposition.

Enfin, nous vous rappelons que la vente par un auteur du support matériel de son œuvre (sa toile, sa sculpture, son tirage original…) n’emporte pas la cession de ses droits d’auteur. Sauf à signer un contrat organisant cette cession dans le respect des dispositions légales, le propriétaire de l’œuvre ne peut pas exposer l’œuvre qui lui a été vendue sans l’autorisation de l’auteur ou de sa société d’auteurs, comme il ne peut la reproduire.

Le droit de suite 

Le droit de suite est un droit inaliénable de l’auteur de percevoir un pourcentage sur la revente de ses œuvres originales. Perçu jusqu’au 1er juin 2007 qu’à l’occasion des ventes aux enchères publiques, le droit de suite s’applique depuis cette date à toutes reventes d’une œuvre d’art lorsque intervient un professionnel : galeriste, antiquaire, intermédiaire…

Depuis le 1er juin 2007, de nouvelles dispositions sont entrées en vigueur (article L. 122-8 et R. 122-1 à R. 122-11 du Code de la Propriété Intellectuelle). Elles résultent de la loi du 1er août 2006, du décret 2007-756 du 9 mai 2007 et de l’arrêté ministériel du 10 août 2007.

Quelles sont les ventes assujetties ?

Plusieurs conditions se cumulent (1/ 2/ 3/) :

  • 1/ quant aux œuvres concernées

Sont concernées les œuvres originales graphiques ou plastiques créées par l’auteur lui-même, telles que les tableaux, les collages, les peintures, les dessins, les gravures, les estampes, les lithographies, les sculptures, les tapisseries, les céramiques, les verreries, les photographies et les créations plastiques sur support audiovisuel ou numérique.

Les œuvres exécutées en nombre limité d’exemplaires et sous la responsabilité de l’auteur sont considérées comme œuvres d’art originales au sens de l’alinéa précédent si elles sont numérotées ou signées ou dûment autorisées d’une autre manière par l’auteur. Ce sont notamment :

 les gravures, estampes et lithographies originales tirées en nombre limité d’une ou plusieurs planches 
 les éditions de sculpture, dans la limite de douze exemplaires, exemplaires numérotés et épreuves d’artiste confondus ; 
 les tapisseries et œuvres d’art textile faites à la main, sur la base de modèles originaux fournis par l’artiste, dans la limite de huit exemplaires ; 
 les émaux entièrement exécutés à la main et comportant la signature de l’artiste, dans la limite de huit exemplaires numérotés et de quatre épreuves d’artiste ; 
 les œuvres photographiques signées, dans la limite de trente exemplaires, quels qu’en soient le format et le support ; 
 les créations plastiques sur support audiovisuel ou numérique dans la limite de douze exemplaires.

  • 2/ quant aux auteurs

Bénéficient du droit de suite, les auteurs ressortissant d’un État membre de l’Union européenne ou d’un État, partie à l’accord sur l’Espace économique européen ainsi que leurs ayants droit.

Les autres auteurs peuvent bénéficier du droit de suite si leur législation en fait bénéficier les auteurs de l’Union européenne ou d’un État, partie à l’Espace économique européen (principe de réciprocité) ou s’ils ont participé à la vie de l’art français et ont eu, pendant au moins cinq années, même non consécutives, leur résidence en France, sur accord du Ministre de la Culture et d’une commission (principe d’assimilation).

Les auteurs doivent être vivants ou décédés depuis moins de 70 ans. À défaut de connaissance de la date de décès de l’auteur, on considère que les œuvres postérieures à 1860 sont susceptibles d’être soumises au droit de suite.

  • 3/ quant aux ventes concernées

Sont assujetties toutes les ventes autres que la première vente lorsque intervient en tant que vendeur, acheteur ou intermédiaire un professionnel du marché de l’art et que : 
1/ la vente est effectuée sur le territoire français ou est assujettie à la taxe sur la valeur ajoutée.
2/ le montant de la vente doit être est égal ou supérieur à 750 euros.

Par dérogation, le droit de suite ne s’applique pas lorsque le vendeur a acquis l’œuvre directement de l’auteur moins de trois ans avant cette vente et que le prix de vente ne dépasse pas 10 000 euros.

Quel est le montant du droit de suite ?

Le droit de suite s’applique à toutes les ventes qui remplissent les critères ci-dessus.

Les taux applicables sont :

  •  4% pour la tranche du prix jusqu’à 50 000 €
  •  3% pour la tranche du prix comprise entre 50 000,01 € et 200 000 €
  •  1% pour la tranche du prix comprise entre 200 000,01 € et 350 000 €
  •  0.5% pour la tranche du prix comprise entre 350 000,01 € et 500 000 €
  •  0.25% pour la tranche du prix excédant 500 000,01 €

Le droit de suite est plafonné à 12 500 € par œuvre.

Il n’y a pas de franchise. Le droit de suite s’applique aux œuvres vendues au moins 750 € HT mais dès le premier euro.

Obligations des professionnels

Le droit de suite est à la charge du vendeur mais le professionnel reste responsable du paiement pendant 5 ans à compter de la vente.

Il faut distinguer deux situations :

  • 1/ le professionnel est saisi d’une demande de revendication 

L’auteur, ses ayants droit ou une société d’auteurs ont revendiqué le droit de suite, le professionnel a obligation de verser le droit de suite dans le délai de 4 mois de la vente ou de la réception de la  demande si celle-ci est postérieure à la  vente.

  • 2/ le professionnel n’est saisi d’aucune demande de revendication 

Le professionnel a obligation d’aviser par lettre recommandée avec AR une société d’auteurs agréée par le Ministre de la Culture à cet effet au plus tard dans les trois mois après la fin du trimestre civil au cours duquel la vente a eu lieu. La Saif a été agréée par l’arrêté du Ministre de la Culture et de la Communication en date du 10 août 2007.

Le professionnel doit communiquer : 
  la date de la vente 
  le nom de l’auteur 
  le cas échéant, les informations sur le bénéficiaire du droit de suite dont il dispose 
  le prix de vente

Dans les deux cas, - revendication ou non -, le professionnel doit conserver les informations pendant 3 ans suivant la vente.

Professionnels, comment remplir vos obligations ?

Que ce soit pour les auteurs qui ont mandaté la Saif pour la perception de leur droit de suite ou pour les autres auteurs, afin de simplifier les procédures de déclarations, la Saif met à votre disposition un bordereau de déclaration.

Vous pouvez nous adresser ce bordereau rempli à l’adresse droitdesuite[@]saif.fr pour chaque vente ou chaque fin de mois voire trimestre à votre convenance. A réception de vos bordereaux de déclaration, nous vous adresserons une facture pour les auteurs que nous représentons.

Auteur ou ayant droit : comment percevoir mon droit de suite ?

Vous êtes déjà membre de la Saif, vous avez donc mandaté la Saif pour la perception de votre droit de suite. Si l’une de vos œuvres est revendue à l’occasion d’une vente où intervient un professionnel du marché de l’art, la Saif percevra du droit de suite pour votre compte et vous le répartira selon ses règles statutaires.

Vous n’êtes pas membre d’une société de gestion collective, adhérer à la Saif qui fera le nécessaire lorsqu’une de vos œuvre sera vendue. Sinon vous devrez intervenir directement auprès des professionnels pour percevoir votre droit de suite. 
Consulter la liste des auteurs non membres pour lesquels la Saif a été informée d’une vente.

 

Tarifs

Le montant des droits dépend du format de la reproduction, de la nature du support, de son tirage, de la durée de l'exploitation. 

Consultez nos tarifs.

Pour toute information complémentaire veuillez écrire à autorisation[@]saif.fr

Droit de suite

Le droit de suite est un droit inaliénable de l’auteur de percevoir un pourcentage sur la revente de ses œuvres originales. Perçu jusqu’au 1er juin 2007 qu’à l’occasion des ventes aux enchères publiques, le droit de suite s’applique depuis cette date à toutes reventes d’une œuvre d’art lorsque intervient un professionnel : galeriste, antiquaire, intermédiaire…

Depuis le 1er juin 2007, de nouvelles dispositions sont entrées en vigueur (article L. 122-8 et R. 122-1 à R. 122-11 du Code de la Propriété Intellectuelle). Elles résultent de la loi du 1er août 2006, du décret 2007-756 du 9 mai 2007 et de l’arrêté ministériel du 10 août 2007.

Quelles sont les ventes assujetties ?

Plusieurs conditions se cumulent (1/ 2/ 3/) :

• 1/ quant aux œuvres concernées

Sont concernées les œuvres originales graphiques ou plastiques créées par l’auteur lui-même, telles que les tableaux, les collages, les peintures, les dessins, les gravures, les estampes, les lithographies, les sculptures, les tapisseries, les céramiques, les verreries, les photographies et les créations plastiques sur support audiovisuel ou numérique.

Les œuvres exécutées en nombre limité d’exemplaires et sous la responsabilité de l’auteur sont considérées comme œuvres d’art originales au sens de l’alinéa précédent si elles sont numérotées ou signées ou dûment autorisées d’une autre manière par l’auteur. Ce sont notamment :

 les gravures, estampes et lithographies originales tirées en nombre limité d’une ou plusieurs planches ; 
 les éditions de sculpture, dans la limite de douze exemplaires, exemplaires numérotés et épreuves d’artiste confondus ; 
 les tapisseries et œuvres d’art textile faites à la main, sur la base de modèles originaux fournis par l’artiste, dans la limite de huit exemplaires ; 
 les émaux entièrement exécutés à la main et comportant la signature de l’artiste, dans la limite de huit exemplaires numérotés et de quatre épreuves d’artiste ; 
 les œuvres photographiques signées, dans la limite de trente exemplaires, quels qu’en soient le format et le support ; 
 les créations plastiques sur support audiovisuel ou numérique dans la limite de douze exemplaires.

• 2/ quant aux auteurs

Bénéficient du droit de suite, les auteurs ressortissant d’un État membre de l’Union européenne ou d’un État, partie à l’accord sur l’Espace économique européen ainsi que leurs ayants droit.

Les autres auteurs peuvent bénéficier du droit de suite si leur législation en fait bénéficier les auteurs de l’Union européenne ou d’un État, partie à l’Espace économique européen (principe de réciprocité) ou s’ils ont participé à la vie de l’art français et ont eu, pendant au moins cinq années, même non consécutives, leur résidence en France, sur accord du Ministre de la Culture et d’une commission (principe d’assimilation).

Les auteurs doivent être vivants ou décédés depuis moins de 70 ans. A défaut de connaissance de la date de décès de l’auteur, on considère que les œuvres postérieures à 1860 sont susceptibles d’être soumises au droit de suite.

• 3/ quant aux ventes concernées

Sont assujetties toutes les ventes autres que la première vente lorsque intervient en tant que vendeur, acheteur ou intermédiaire un professionnel du marché de l’art et que : 1/ la vente est effectuée sur le territoire français ou est assujettie à la taxe sur la valeur ajoutée. 2/ le montant de la vente doit être est égal ou supérieur à 750 euros.

Par dérogation, le droit de suite ne s’applique pas lorsque le vendeur a acquis l’œuvre directement de l’auteur moins de trois ans avant cette vente et que le prix de vente ne dépasse pas 10 000 euros.

Quel est le montant du droit de suite ?

Le droit de suite s’applique à toutes les ventes qui remplissent les critères ci-dessus.

Les taux applicables sont :

 4% pour la tranche du prix jusqu’à 50 000 euros 
 3% pour la tranche du prix comprise entre 50 000,01 euros et 200 000 euros 
 1% pour la tranche du prix comprise entre 200 000,01 euros et 350 000 euros 
 0.5% pour la tranche du prix comprise entre 350 000,01 euros et 500 000 euros 
 0.25% pour la tranche du prix excédant 500 000,01 euros.

Le droit de suite est plafonné à 12 500 euros.

Il n’y a pas de franchise. Le droit de suite s’applique aux œuvres vendues au moins 750 € HT mais dès le premier euro.

Obligations des professionnels

Le droit de suite est à la charge du vendeur mais le professionnel reste responsable du paiement pendant 10 ans à compter de la vente.

Il faut distinguer deux situations :

1/ le professionnel est saisi d’une demande de revendication L’auteur, ses ayants droit ou une société d’auteurs ont revendiqué le droit de suite, le professionnel a obligation de verser le droit de suite dans le délai de 4 mois de la vente ou de la réception de la demande si celle-ci est postérieure à la vente.

2/ le professionnel n’est saisi d’aucune demande de revendication Le professionnel a obligation d’aviser par lettre recommandée avec AR une société d’auteurs agréée par le Ministre de la Culture à cet effet au plus tard dans les trois mois après la fin du trimestre civil au cours duquel la vente a eu lieu. La Saif a été agréée par l’arrêté du Ministre de la Culture et de la Communication en date du 10 août 2007.

Le professionnel doit communiquer : 
 la date de la vente 
 le nom de l’auteur 
 le cas échéant, les informations sur le bénéficiaire du droit de suite dont il dispose 
 le prix de vente

Dans les deux cas, - revendication ou non -, le professionnel doit conserver les informations pendant 3 ans suivant la vente.

Professionnels, comment remplir vos obligations ?

Que ce soit pour les auteurs qui ont mandaté la Saif pour la perception de leur droit de suite ou pour les autres auteurs, afin de simplifier les procédures de déclarations, la Saif met à votre disposition un bordereau de déclaration.

Vous pouvez nous adresser ce bordereau rempli à l’adresse droitdesuite[@]saif.fr pour chaque vente ou chaque fin de mois voire trimestre à votre convenance. A réception de vos bordereaux de déclaration, nous vous adresserons une facture pour les auteurs que nous représentons.

Auteur ou ayant droit : comment percevoir mon droit de suite ?

Vous êtes déjà membre de la Saif, vous avez donc mandaté la Saif pour la perception de votre droit de suite. Si l’une de vos œuvres est revendue à l’occasion d’une vente où intervient un professionnel du marché de l’art, la Saif percevra du droit de suite pour votre compte et vous le répartira selon ses règles statutaires.

Vous n’êtes pas membre d’une société de gestion collective, adhérez à la Saif qui fera le nécessaire lorsqu’une de vos oeuvre sera vendue. Sinon vous devrez intervenir directement auprès des professionnels pour percevoir votre droit de suite.

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Cette banque d’images, déjà riche de plus de 500 000 images, a pour objectif de présenter la diversité des auteurs des arts visuels représentés par la Saif. Sont donc présentés sur la Saif images aussi bien des photographies que des illustrations, peintures, œuvres plastiques, architecturales, de design etc., de tout genre et couvrant la période des années 1930 à nos jours.

La Saif images est hébergée par la société française Pixways et diffusée sur son portail ainsi que sur son site Internet propre www.saifimages.fr

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